Acta fabula
ISSN 2115-8037

2012
Novembre-Décembre 2012 (volume 13, numéro 9)
François-Ronan Dubois

Écrire sur un inconnu : problèmes de méthode

Keisuke Misono, Écrire contre le jansénisme : Léonard de Marandé, polémiste vulgarisateur, Paris : Honoré Champion, coll. « Lumière classique », 2012, 329 p., EAN 9782745323446.

1Il suffit de consulter la liste des ouvrages parus dans la collection « Lumière classique » chez Honoré Champion pour se convaincre de la considérable attention critique dévolue, ces dernières années, à Port‑Royal et, plus largement, à la question du jansénisme et de l’augustinisme au xviie siècle. Les ouvrages de Philippe Sellier, Michel Le Guern, Tony Gheeraert, Marie Pérouse, Laurent Susini, Simon Icard, Delphine Reguig‑Naya et, pour la seule année 2012, Tetsuya Shiokawa, Bernard Chédozeau et Keisuke Misono, témoignent, pour cette seule collection, de l’intérêt porté à ce que l’on pourrait appeler, faute d’un meilleur terme, un courant de pensée. Dans ce paysage critique contemporain, l’ouvrage de Keisuke Misono occupe à première vue une place singulière : quand l’essentiel des études parues concerne ce que Port‑Royal dit de Port‑Royal, ce que Port‑Royal fait de la religion, de la politique ou de la littérature, K. Misono s’intéresse pour sa part à l’autre discours de cette grande affaire de la seconde moitié du xviie siècle : celui des opposants à la doctrine d’Arnauld. À cette première particularité il faut en ajouter une seconde, qui est le souci quasi exclusif de l’ouvrage pour un auteur si mineur qu’à moins d’être spécialiste, non seulement du xviie siècle, mais encore des polémiques religieuses, il est bien difficile de connaître, Léonard de Marandé.

2À n’en pas douter, le projet est intéressant. Plus que cela, même, il est rendu nécessaire précisément par la vivacité et la prolixité des études consacrées au jansénisme, qui risqueraient fort de faire oublier que les gens de Port‑Royal n’occupaient pas seuls l’espace théologique et littéraire du xviie siècle et qu’il y avait, contre eux, un discours théologique, politique et polémique virulent. Le xviie siècle n’était pas janséniste et il s’efforçait avec beaucoup d’ardeur de ne pas le devenir. Nécessaire encore de s’attacher aux grands oubliés de l’histoire littéraire, tant il est vrai que cette histoire, pour le siècle qui par excellence est celui des classiques, nous offre parfois un tableau de la scène littéraire bien différent de celui qui se présentait aux contemporains. Il suffit de songer à l’abîme qui sépare l’obscurité présente de Ménage et sa grande célébrité d’alors pour mesurer combien les siècles successifs ont construit un xviie siècle, et singulièrement un siècle de Louis XIV, pour reprendre le titre de Voltaire, qui n’a parfois que peu de rapport avec la production effective.

3Seulement, l’entreprise n’est pas sans difficulté. À présenter un inconnu comme Léonard de Marandé, on court toujours le risque de céder à l’ambition de défendre celui que l’on exhume, comme la critique féministe de langue anglaise qui, en tirant la dramaturge du dix‑septième siècle Aphra Behn de l’oubli relatif dans lequel l’histoire littéraire victorienne l’avait laissée, s’est escrimée à défendre en même temps qu’elle les exposait les pièces de l’auteure, quitte à faire bon marché de ce qu’elles avaient de conventionnel et de commercial. Pire encore : l’inconnu peut être inconnu parce que les documents n’abondent pas à son propos. Comment alors rendre compte efficacement de la cohérence d’une pensée dont il ne reste que des traces ? Ou bien, quand tous les textes sont encore disponibles, est‑il judicieux de construire une œuvre à partir d’ouvrages qui n’ont en commun qu’un nom ? Cela suffit‑il à faire un auteur et l’histoire littéraire a‑t‑elle bien besoin de ce genre d’auteurs ?

4Ces questions, K. Misono ne les expose que rarement de manière explicite ; il me semble pourtant que son ouvrage les ravive. Pour ne pas réduire cependant cette étude aux problèmes qu’elle pourrait poser, j’en présenterai d’abord les grandes lignes, avant de m’attacher plus particulièrement aux questions de méthode que je viens ici d’évoquer.

Léonard de Marandé, sa vie, son œuvre, sa psychologie

5Après une brève introduction qui rappelle l’obscurité quasi totale de l’objet de son propos, la première des cinq parties de l’ouvrage est consacrée à l’exposé de l’existence de Léonard de Marandé ainsi qu’à son contexte familial. À ces premières considérations biographiques se joignent, au cours de l’étude, d’autres éléments exposés plus ponctuellement, relatifs à la psychologie ou aux diverses circonstances de la carrière de l’auteur, et qui viennent compléter un portrait, nous allons le voir, difficile à établir avec précision.

6Cette difficulté se fonde sur une première indécision : déterminer le nombre de Marandé auxquels on a affaire. Le premier chapitre de K. Misono expose ainsi ce que l’auteur appelle « la thèse des deux Marandé », mise en place dès le xviie siècle, à partir de mentions biographiques incomplètes dans diverses sources. L’essentiel de la question est de savoir si le Marandé greffier du Palais puis aumônier et conseiller du roi est le même que celui qui s’engage dans la controverse théologique et plus largement les écrits religieux. Après avoir expliqué la manière dont la thèse des deux Marandé a pu se construire, l’auteur prouve l’identité du personnage : il n’y a qu’un seul Marandé, auquel le prénom correct de Léonard n’est pas toujours attribué. Les documents sur son existence n’en sont pas pour autant plus nombreux ; au moins peut‑on dire qu’il est issu d’une famille de noblesse de robe d’abord modeste qui connaît, au cours du xviie siècle, une fulgurante ascension sociale, dont la participation de Léonard de Mérandé à une querelle de docteurs de premier plan constitue l’aboutissement.

7Marandé n’est donc pas un théologien de profession et, en la matière, il est autodidacte. Ses connaissances, selon K. Misono, sont de première main, malgré les accusations que ses adversaires porteront à son encontre et deux penseurs exercent sur lui une influence considérable : Michel de Montaigne d’un côté et Thomas d’Aquin de l’autre. La première incarnation de la pensée de Marandé est ainsi sceptique : il s’agit du Jugement des actions humaines, paru en 1624, dont K. Misono estime qu’il entretient une très grande proximité avec les thèses de Montaigne. Sur ces bases, Marandé entame, de manière peut‑être un peu étonnante, une carrière d’apologiste avec notamment Le Philosophe chrétien ou les mystères de la foi prouvés par raisons naturelles (1638) puis Le Théologien français (en trois volumes, de 1641 à 1643, avec un Abrégé en 1642) et surtout La Clef ou abrégé de la Somme de saint Thomas (1649). Cette activité apologétique s’accompagne d’une recherche docte sur des questions qui préoccupent les théologiens contemporains, recherche rassemblée dans les Antiquités de l’Église de l’ancien usage des sacrements (1652). S’ouvre à partir de 1653 une prolifique carrière de polémiste, avec, parmi d’autres, les Inconvénients d’État procédant du jansénisme. Avec la réfutation du Mars français de Monsieur Jansénius (1654), qui envisage la question du jansénisme d’un point de vue politique, la Traduction fidèle du dernier décret d’Innocent x portant condamnation de la doctrine de Jansénius et des livres faits pour sa défense (1655), qui place Marandé au cœur de l’activité anti‑janséniste et La Question de fait touchant Jansénius, traitée par le droit et par le fait, avec la réponse à tous les libelles de Port‑Royal qui ont paru depuis deux ans (1661).

8Selon K. Misono, la progression est un peu atypique. À en croire les adversaires de Marandé, l’homme se distinguait par son ignorance des questions religieuses, n’étant pas théologien de formation, et par une vanité qui le poussait à vouloir paraître en toute circonstance. K. Misono souligne cependant que les partisans des Jésuites louaient le style et l’implication de Marandé et recommandaient à l’occasion ses ouvrages. Il est difficile, selon l’auteur, de démêler la vérité du caractère sous des opinions contradictoires ; il lui semble néanmoins que Marandé a essayé de se construire une stature de polémiste de premier plan, en répondant systématiquement aux libelles de Port‑Royal, en envisageant les questions sur tous les plans (théologique et politique principalement) et en interpellant directement le plus éminent de ses adversaires, c’est‑à-‑dire Arnauld. Il y aurait donc bien désir de se faire reconnaître et de paraître. À cette motivation toute personnelle se joindrait celle, plus générale, de préserver la paix de l’État, défendre la royauté, transmettre à un large public les questions difficiles de théologie et d’histoire de la religion et préserver la continuité de l’Église catholique.

Les conceptions de Marandé

9Selon K. Misono, ces nombreuses publications et ces différentes convictions forment un ensemble dont il est possible de retrouver la cohérence. Le scepticisme de Marandé, selon l’auteur, ne serait pas total ; il faut plutôt le comprendre comme un désir de tout examiner par l’usage de la raison, sans céder aux prétentions de la raison elle‑même. C’est donc une sorte de fidéisme tempéré, semblable à celui qui se retrouve, plus tard, dans l’œuvre apologétique de Marandé : la raison naturelle sert de fondement à la croyance, mais c’est la foi qui constitue la véritable adhésion du fidèle à l’Église. Ce qui peut paraître un compromis un peu lâche est en fait destiné à préserver le grand public d’un double danger : celui de s’éloigner de la religion par un excès de rationalité et celui d’éloigner le public de la religion par un excès de rigueur et de mystères.

10C’est ce souci d’expliquer les points difficiles de la théologie avec clarté et simplicité, ce que K. Misono appelle l’activité de « vulgarisateur » de Marandé, qui soutient à la fois son entreprise apologétique et une part de son activité de polémiste. Selon Marandé, le grand public est en passe de sombrer dans le libertinage ou l’hérésie, soit qu’on lui expose une doctrine trop hermétique pour qu’il puisse y adhérer sans s’en dégoûter, soit qu’on le séduise avec les artifices d’une rhétorique élégante. Clefs, abrégés et traductions sont autant de moyens pour tirer des débats des doctes des enseignements pour le profit d’un plus grand lectorat.

11Marandé se comporte donc plutôt en pédagogue qu’en docte. Il est vrai que sa position sociale ne lui permet guère de faire autrement : non seulement n’a‑t‑il pas le doctorat qui ferait de lui un interlocuteur légitime dans la polémique religieuse, mais en plus n’assiste‑t‑il pas aux principales délibérations de la Sorbonne sur la question. Il est donc contraint d’adapter sa stratégie à sa situation. À l’inverse, ses adversaires s’abstiennent toujours de le nommer et de se référer explicitement à ses écrits quand ils y répondent, s’efforçant de le tenir à la marge du débat, pour souligner le peu de légitimité qu’il a à y intervenir. Sa position de vulgarisateur relève donc à la fois d’une conviction personnelle et d’une nécessité stratégique.

12Dans la polémique, ses conceptions reposent essentiellement sur la défense de deux points : que le jansénisme rompt la continuité de l’Église catholique et qu’il représente un danger pour la monarchie française. Pour défendre le premier point, il utilise des arguments assez courants : il souligne la contradiction interne de la doctrine janséniste en la simplifiant, il replace le seul saint Augustin dans l’ensemble plus vaste du corpus patristique pour tempérer son autorité exclusive, il défend l’infaillibilité papale en matière de droit et de fait pour appuyer les condamnations officielles d’Innocent X et Alexandre VII. Pour défendre le second point, c’est‑à‑dire la question politique, il développe l’idée d’un complot janséniste, d’une secte d’État portée à la sédition, en s’appuyant sur des affaires contemporaines, relatives notamment aux donations reçues par Port‑Royal et au refus d’Arnauld de signer le formulaire, texte que tous les ecclésiastiques de France devaient signer, sur ordre du pape, pour approuver la condamnation de Jansénius.

13Du point de vue du style, Marandé cherche ponctuellement à opposer sa prose, selon lui, simple et naturelle, à la rhétorique recherchée et élégante d’Arnauld. Si lui‑même écrit simplement, c’est qu’il entend convaincre par des raisons naturelles et exposer clairement les arguments des partis en présence, quand Arnauld, en bon chef de secte, ne cherche qu’à recruter de nouveaux adeptes pour asseoir un peu plus son pouvoir. À cette simplicité s’ajoute la mise en scène de son rôle de polémiste : Marandé cite ses précédentes interventions et signale tous les endroits où ses ennemis lui paraissent s’attaquer à lui, pour faire comprendre (ou croire) à ses lecteurs qu’il est un acteur central de la polémique en cours. De la même façon, il provoque nommément et de manière répétée Arnauld pour susciter (sans succès d’ailleurs) une réponse de ce dernier et asseoir un peu plus sa place dans le contexte de la controverse.

14Selon K. Misono, cette stratégie implique un double mouvement : de l’intérieur vers l’extérieur et de l’extérieur vers l’intérieur. Marandé tire de l’intérieur des discussions doctes matière à alimenter ses pamphlets anti‑jansénistes et il tire de la légitimité qu’il construit par son activité de polémiste le droit de composer des ouvrages plus érudits. C’est ainsi que sur la question de la signature du formulaire, il produit à la fois La Question de fait, qui élabore de manière précoce le concept de « foi humaine ecclésiastique » (il faut accorder sa foi aux autorités ecclésiastiques sur les points du dogme, de l’histoire religieuse et sur les faits polémiques), central dans la théologie moderne à partir du xviie siècle, la Lettre sur la constance, qui est un pamphlet virulent, et une traduction de la déclaration d’Innocent X, à destination tant du clergé et du grand public.

15L’intérêt d’une étude de Marandé, pour K. Misono, est multiple : non seulement Marandé produit ponctuellement des concepts originaux et importants (la foi humaine ecclésiastique, l’analyse politique des dangers du jansénisme), mais sa carrière de polémiste constitue un exemple particulièrement éclairant pour la compréhension de la scène littéraire et religieuse du dix‑septième siècle.

Questions de méthode

16Il n’est pas question de revenir ici sur le profit qu’il y a à tirer de la lecture de l’ouvrage de K. Misono : la présentation de l’œuvre de Marandé, pour elle‑même, pour la compréhension des controverses qui entourent le jansénisme et pour celle du fonctionnement des polémiques théologiques et des stratégies de ceux qui y prennent part, est très précieuse. Un semblable projet n’en pose pas moins certains problèmes de méthode, qui du reste peuvent paraître parfaitement accessoires à qui n’aurait pour but que de s’informer plus avant sur les questions d’histoire religieuse et d’histoire littéraire.

17Le premier de ces problèmes est quasi un problème d’écriture. Comment présenter une doctrine complète en un nombre de pages assez réduit ? À bien y regarder, l’ouvrage de Misono est largement composé de citations de Marandé, insérées dans le texte, présentées indépendamment ou indiquées en notes, qu’accompagne la paraphrase de ce qui y est contenu, rendue souvent nécessaire par l’obscurité de la formulation et des distinctions théologiques utilisées. On comprend le désir de présenter autant que possible le texte même de Marandé, difficilement accessible sinon, qui anime une semblable disposition, mais force est de constater qu’elle laisse peu de place aux commentaires véritablement originaux et à la contextualisation. Ainsi, le lecteur qui ne serait pas déjà très familier de la doctrine janséniste, dont aucun résumé synthétique n’est proposé, et de l’histoire de sa répression, éprouverait des difficultés considérables à comprendre non seulement le contexte de production des écrits de Marandé, mais encore ces écrits eux‑mêmes — de sorte que le livre se présente finalement comme un ouvrage pour (hyper‑)spécialistes des querelles jansénistes ou tout du moins de l’histoire religieuse du xviie siècle. Or, sont‑ce vraiment ces spécialistes qui tireront le plus de profit d’une semblable lecture ?

18Loin de moi l’ambition de faire autre chose que de désigner lâchement le problème sans y apporter la moindre solution. Car, en effet, comment procéder ? Une présentation plus synthétique, qui accorderait moins de place à la voix de l’auteur étudié et à sa paraphrase, courrait le risque de fondre la pensée dans les conceptions plus générales des adversaires du jansénisme, auxquels Marandé n’apporte pas nécessairement des arguments d’une évidente originalité. À l’inverse, une présentation plus analytique, qui s’attacherait non seulement à la reformulation mais à la description précise des articulations du système, serait contrainte, ou de produire un ouvrage de plusieurs milliers de pages (et donc pour hyper‑spécialistes courageux), ou de ne traiter qu’une petite partie de l’œuvre de Marandé et d’abandonner ainsi la spécificité du travail que l’on s’était originellement proposée.

19Le deuxième problème consiste à déterminer s’il est bien possible d’inférer un auteur d’un corpus. Avec quelque force que Keisuke Misono affirme la cohérence de l’œuvre de Marandé, le lecteur a souvent l’impression d’avoir affaire à une série d’écrits dont le rapport n’est que circonstanciel. À défaut de présentation étendue à la fois synthétique et analytique, à défaut également de données biographiques assez conséquentes et précises, Léonard de Marandé n’est plus le nom ni d’un personnage historique (dont on ne sait à peu près rien), ni d’une pensée singulière (qui est plutôt le produit de la polémique). La première partie de l’ouvrage, intitulée « Léonard de Marandé et son milieu familial », d’ailleurs fort brève, fait ainsi figure d’électron libre, et le dernier chapitre, concis lui aussi, consacré aux « réactions de Port‑Royal », ne présente que l’image de Marandé véhiculée par les jansénistes. L’auteur reste finalement inconnu. La difficulté est loin d’être anecdotique. Par exemple, K. Misono s’applique à essayer de prouver que Marandé est un grand lecteur de Montaigne. Mais, à bien des égards, les rapports entre les textes de Marandé et ceux du célèbre essayiste relèvent plutôt de la reprise de lieux communs (sans rien préjuger de leur intérêt par ailleurs) que de l’influence directe. Or, si les données biographiques étaient plus précises, on trancherait plus aisément la question et il serait possible, ou d’exploiter plus avant le rapport entre Montaigne et Marandé en étant assuré que le second a lu le premier, ou de mesurer la diffusion générale des idées de Montaigne au xviie siècle.

20En l’absence de documents, encore une fois, que faire ? Faut‑il abandonner complètement toute figure de l’auteur, toute mention de ses motivations personnelles et de sa biographie, au risque de diluer enfin la singularité de l’œuvre dans l’esprit du siècle ou d’un groupe, ce qui ôte nécessairement à l’étude beaucoup de son intérêt socio‑historique ? Faut‑il au contraire se livrer à de hasardeuses conjectures, affirmer, comme le fait parfois Keisuke Misono, que Marandé reprend ceci ou cela, agit pour telle ou telle raison, et produire un savoir peut-être loin d’être inexact, surtout très éclairant, mais dont les fondements sont fragiles ?

21Encore une fois, que des interrogations ici et aucune solution.